Tu accuses à tort, et nous faisons tous pareil (l’instinct du blâme)

 

Le coupable idéal 🕵️‍♂️

Le problème, c’est que cette envie de trouver un coupable à tout prix peut nous jouer des tours. Prenons le changement climatique : on a vite fait d’accuser les grosses entreprises ou les gouvernements. Mais en vrai, c’est beaucoup plus compliqué que ça ! Nos habitudes de consommation, les politiques mises en place, les industries… tout est lié ! Si on se contente de pointer du doigt un seul responsable, on passe à côté de la complexité du problème et on se prive de solutions efficaces.

Imagine : tu rates ton permis de conduire. Tu pourrais accuser l’examinateur d’être trop sévère, ou la voiture d’avoir un problème… Mais peut-être que tu n’étais tout simplement pas assez concentré(e) ce jour-là, ou que tu as commis quelques erreurs. L’important, c’est d’analyser la situation dans son ensemble pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné et progresser.

Pareil pour l’échec scolaire. Accuser l’élève, l’enseignant ou le système éducatif, c’est la solution de facilité. Mais l’échec scolaire est un problème multifactoriel : le contexte social, la famille, la santé de l’enfant… tout joue un rôle ! En cherchant un bouc émissaire, on se trompe de cible et on rate l’occasion de trouver des solutions qui fonctionnent vraiment.

échec scolaire instinct
créée par copilot

 

Prenons un autre exemple : tu as organisé une super fête d’anniversaire, mais personne n’est venu. Tu pourrais accuser tes amis d’être des ingrats, ou la météo d’être pourrie… Mais as-tu bien communiqué sur la date et le lieu ? As-tu proposé des activités qui plaisent à tout le monde ? Parfois, il faut se remettre en question pour comprendre les raisons d’un échec.

 

Quand accuser les autres nous aveugle 👀

 

Le problème, c’est que cette envie de trouver un coupable à tout prix peut nous jouer des tours. Prenons le changement climatique : on a vite fait d’accuser les grosses entreprises ou les gouvernements. Mais en vrai, c’est beaucoup plus compliqué que ça ! Nos habitudes de consommation, les politiques mises en place, les industries… tout est lié ! Si on se contente de pointer du doigt un seul responsable, on passe à côté de la complexité du problème et on se prive de solutions efficaces.

Imagine : tu rates ton permis de conduire. Tu pourrais accuser l’examinateur d’être trop sévère, ou la voiture d’avoir un problème… Mais peut-être que tu n’étais tout simplement pas assez concentré(e) ce jour-là, ou que tu as commis quelques erreurs. L’important, c’est d’analyser la situation dans son ensemble pour comprendre ce qui n’a pas fonctionné et progresser.

Pareil pour l’échec scolaire. Accuser l’élève, l’enseignant ou le système éducatif, c’est la solution de facilité. Mais l’échec scolaire est un problème multifactoriel : le contexte social, la famille, la santé de l’enfant… tout joue un rôle ! En cherchant un bouc émissaire, on se trompe de cible et on rate l’occasion de trouver des solutions qui fonctionnent vraiment.

Prenons un autre exemple : tu as organisé une super fête d’anniversaire, mais personne n’est venu. Tu pourrais accuser tes amis d’être des ingrats, ou la météo d’être pourrie… Mais as-tu bien communiqué sur la date et le lieu ? As-tu proposé des activités qui plaisent à tout le monde ? Parfois, il faut se remettre en question pour comprendre les raisons d’un échec.

 

Connais-tu Philippe Semmelweis ?

Pour illustrer mon propos, laisse-moi te raconter l’histoire de Philippe Semmelweis, un médecin du 19ème siècle. Ce type a découvert que se laver les mains avant d’accoucher les femmes réduisait drastiquement la mortalité. Logique, non ? Eh bien, à l’époque, ses collègues l’ont pris pour un fou ! Ils ont refusé d’admettre qu’ils pouvaient être responsables de la mort de leurs patientes… L’instinct du blâme, toujours lui ! Plutôt que de remettre en question leurs pratiques, ils ont préféré rejeter la faute sur autre chose. Un vrai cas d’école !

C’est un peu comme si un chef cuisinier refusait de se laver les mains avant de préparer tes petits plats. « Mais non, c’est pas à cause de moi si les clients sont malades, c’est la faute des ingrédients ! » Tu vois le genre ? Heureusement, aujourd’hui, on sait que l’hygiène est primordiale, grâce à des pionniers comme Semmelweis. Mais à l’époque, il a fallu du temps pour que les mentalités changent.

 

Image wikipedia

 

 

Notre cerveau, ce farceur 🧠

Mais pourquoi est-ce qu’on a toujours besoin de trouver un coupable ? Eh bien, c’est encore une fois notre cerveau qui nous joue des tours ! Ce petit malin déteste l’incertitude et adore les solutions simples. Alors, il cherche des coupables partout : Macron, les étrangers, les grandes entreprises… Facile !

C’est comme quand tu perds tes clés. Tu accuses tout de suite le chat de les avoir cachées, ou ton colocataire de les avoir déplacées. Mais en vrai, tu les as peut-être juste oubliées dans ta poche… Notre cerveau préfère trouver un coupable plutôt que d’admettre qu’on a fait une erreur.

Tiens, ça me rappelle une anecdote. Quand j’étais petit, on me disait souvent : « Tu es têtu, c’est de ta mère ! » Comme si ma personnalité était forcément de la faute de quelqu’un ! On a tous notre propre caractère, pas besoin de chercher un responsable à tout prix.

Et puis, soyons honnêtes, c’est plus facile de critiquer les autres que de se regarder dans le miroir, non ? On préfère accuser le gouvernement de tous les maux plutôt que de se demander si on pourrait agir à notre niveau pour changer les choses.

 

Créer par copilot

 

Dompter l’instinct du blâme 💪

Alors, comment on fait pour dompter cet instinct du blâme ? Déjà, on se rappelle que les problèmes sont rarement simples. On évite de simplifier à outrance et on essaie de voir les choses sous différents angles. Et surtout, on accepte de se tromper et de changer d’avis ! En gros, on essaie d’être un peu plus ouvert d’esprit et de réfléchir avant d’accuser.

Pour reprendre l’exemple du permis de conduire, au lieu de rejeter la faute sur l’examinateur, tu peux analyser tes erreurs et t’entraîner davantage. Et si tu as raté ta fête d’anniversaire, tu peux en discuter avec tes amis pour comprendre ce qui s’est passé et organiser une autre soirée encore plus réussie. L’important, c’est de tirer des leçons de ses expériences et d’avancer.

Voilà, j’espère que cet article t’aura éclairé sur l’instinct du blâme. N’oublie pas, si un problème avait une solution simple avec un seul coupable, ça se saurait ! On se retrouve bientôt pour explorer un autre instinct. En attendant, prends soin de toi !

Sources:

 

 

Prends soin de toi et de tes proches, à très bientôt.

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djekill

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