Tu sais que ma mère était très pieuse. Elle priait chaque fois que je sortais le soir. Je t’ai déjà raconté cette histoire, mais un petit rappel s’impose ! Une nuit,à l’entrée d’une boite, après une dispute avec un rugbyman,…
Ces moments nous font sentir partie intégrante de la vie des autres, ils alimentent la nostalgie. Mais attention ! Si on y réfléchit bien, nos souvenirs peuvent nous jouer des tours… et même nous mentir effrontément !
Quand les souvenirs nous jouent des tours Quand j’avais une quinzaine d’années, peut-être un peu plus, ma mère est venue me voir tout excitée avec une cassette vidéo entre les mains. Comme beaucoup de femmes des années 80-90, elle occupait…
Le silence assourdissant du web Encore un article publié, et… le silence. 320 vues, c’est pas mal, me diras-tu. Certes, ce n’est pas mon plus grand succès,mais les chiffres n’ont jamais été ma priorité. Je les consulte par simple curiosité, pour voir si ça monte, si ça descend… un peu comme…
Jusqu’en 2004, lorsque je regardais en bas de ma rue, je voyais souvent passer une personne, un vieil homme à béret qui traversait la rue de la République. Il passait parfois seul, parfois avec son chien. Je ne sais plus…
Il y a quatre mois, je t’ai parlé du livre Factfulness. Je t’avais promis que nous continuerions à explorer les différents instincts mentionnés dans le livre. Aujourd’hui, nous allons aborder l’instinct du blâme, ainsi que notre tendance à refuser un avis divergent, juste pour éviter de nous sentir coupable.
Quand j’ai commencé à lire des livres sur la productivité ou la psychologie, je me suis rapidement rendu compte d’un problème : le contenu français est très limité. Et oui, cela n’est pas une découverte ; ne pas lire du contenu d’autres pays nous empêche d’avoir une vision différente et surtout un contenu bien plus conséquent. Mais se pose un nouveau problème : tout le monde ne parle pas anglais. Si cela pouvait être handicapant il y a quelques années, aujourd’hui la technologie ne nous laisse plus aucune excuse.
Pourquoi les gens ne voient la vie qu’à travers un tout petit trou ?
Si on devait choisir un sujet qui a marqué cette année, ce serait sans aucun doute l’intelligence artificielle (#IA).
En seulement quelques mois, elle est apparue partout. Crainte par certains, moquée par d’autres et exploitée par certains, l’IA est sur toutes les lèvres.
Au départ, on l’utilisait surtout dans la création de contenu, mais Snapchat a choisi une autre voie en créant son propre ami virtuel grâce à l’IA. Pour moi, cette étape était inévitable et devait forcément arriver.
D’autant plus que de mon côté, mon enfance et mon adolescence ont été particulièrement solitaires. Pour combler ce vide qui devenait de plus en plus pesant pendant mon adolescence, j’ai décidé en 1992 de créer mon propre ami sur Amstrad.
De plus en plus, on regarde des films de manière passive, sans vraiment y prêter attention, juste pour les consommer. On en vient à penser que le cinéma en tant qu’art est mort.
Mais, de temps en temps, un film atypique sort et défie toutes les attentes. Malgré les probabilités de l’échec, ce film résonne personnellement en nous.
C’est dans ces moments-là que l’on se rappelle que le cinéma a encore le pouvoir de nous toucher et de créer des expériences uniques, rappelant ainsi que l’art cinématographique est toujours bien vivant. Et ce film c’est Everything everywhere all at once