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Je suis Everythink Everywhere All At Once

Je suis Everythink Everywhere All At Once

De plus en plus, on regarde des films de manière passive, sans vraiment y prêter attention, juste pour les consommer. On en vient à penser que le cinéma en tant qu’art est mort.

Mais, de temps en temps, un film atypique sort et défie toutes les attentes. Malgré les probabilités de l’échec, ce film résonne personnellement en nous.

C’est dans ces moments-là que l’on se rappelle que le cinéma a encore le pouvoir de nous toucher et de créer des expériences uniques, rappelant ainsi que l’art cinématographique est toujours bien vivant. Et ce film c’est Everything everywhere all at once

Adieu Eri, une ode à l’imagination

Adieu Eri, une ode à l’imagination

Yuta Ito reçoit un smartphone de sa mère mourante pour son anniversaire. Peu de temps après, elle lui demande de la filmer et de monter un film au cas où elle décéderait. Après sa mort, Yuta présente le film à son école, mais il est confronté à des moqueries car la dernière scène montre un hôpital explosant. Intimidé et ostracisé, Yuta est heureusement rejoint par Eri, une fille qui a adoré son film et lui demande d’en faire un autre.

Summer Wars (2009)

Summer Wars (2009)

A l’époque, le dernier film que j’avais vus de Mamoru Hosoda était « la traversée du temps », un très bon film d’animation sur le voyage dans le temps qui souffrait surtout d’un problème de rythme.  C’est donc tout naturellement que je ne pouvais pas rater Summer Wars lors de sa sortie en 2009 ( déjà 11 ans), un film d’anticipation sur un sujet qui nous touche tous. 

Mon avis sur 5 centimètres par seconde (animé)

Mon avis sur 5 centimètres par seconde (animé)

Il y a des films comme ça dont on n’entend jamais parler et qui vous touche directement. Une histoire que tout le monde a vécu au moins une fois, une séparation, une personne à qui on avait promis de ne jamais l’oublier, et que le temps vous empêche de tenir votre promesse. Ce n’est pas un film, c’est un poème, un sentiment, un souvenir …..

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